Il ne règle pas les problèmes rencontrés dans les ESPE, il n’évalue pas.
Il a un rôle stratégique et d’orientation. Il observe et suit le développement des ESPE. Il mène une réflexion prospective. il propose des lignes directrices. Il repère les bonnes pratiques.
côté employeur : 1 recteur, 1 IPR, 1 IEN, 1IEN-ET, 1 GRH FC,
côté formateurs : 1 CPU, 1 VPCEVU, 1 CDUL, 1 CDUS, 1 pdt d’ESPE
côté syndical (3 MEN- 3 MESR) : 1 UNSA, 1 SNUipp, 1 SNES / 1 SGEN, 1 UNEF , 3 FSU (SNESUP : Muriel Coret, SNUipp : Aline Becker, SNES : Caroline Lechevallier).
quelques spécialistes : 1 psycho, 1 didactique, 1 sc. éduc
1 représentant des associations d’éducation populaire.
3 invités permanents : IFE ESEN, Comité suivi master.
Il se réunira une fois par mois pendant 3 ans.
Intervention Snesup :
1) Ce comité de suivi est une nécessité, nous l’avions demandé et nous espérons qu’il réussira à faire ce que nous réclamons depuis un bon moment : un meilleur cadrage.
2) Ce ne sera pas évident, notamment parce que les accréditations des ESPE ont été globales et qu’on ne peut vérifier la conformité de quoi que ce soit concernant les maquettes.
3) Le comité de suivi observe… La FSU – et le collectif FDE du SNESUP en particulier – a donc un rôle important à jouer pour faire remonter des infos.
4) Il ne faut pas se faire d’illusions sur les capacités de ce comité de suivi à peser sur la politique globale qui demande des moyens (pour obtenir par ex un tiers de temps sur le terrain en M2) mais il peut être un lieu supplémentaire pour être entendu.
Il pourra notamment aborder les questions d’EAP, de concours, de masters de formateurs.