Audience FSU au rectorat de Poitiers

Le 8 avril, la rectrice reçoit la FSU. Pour la FDE, différents points sont abordés : mise en stage, formation continue, parcours adaptés…

Des évolutions sont nécessaires !

Sur la mise en stage
1- nécessité d’un groupe de travail sur la mise en stage (comme discuté avec Snuipp et Snes lors de nos dernières réunions) : lieux et modalités
2- revenir sur la demande d’une organisation filé / massé (pour permettre aux PES de voir plusieurs contextes d’exercice + possibilité de libérer des enseignants titulaires pour des actions de formation continue en assurant leur remplacement par des stagiaires) – cf. ce qui se fait ailleurs dans certaines ESPE, et à Clermont par exemple ;
3- assouplir les contraintes de stage pour les M2 non admis (quelle obligation à ce qu’ils restent dans la même école, qqfois dans la même classe tte l’année alors qu’ils ne sont pas en responsabilité ?)

Sur la formation continue
– très peu de propositions de l’ESPE acceptées ou réalisées cette année… on attend mieux pour l’an prochain ! cf. aussi la préparation aux certifications CAFIPEMF et CAFFA, dans laquelle l’ESPE – Université devrait jouer tout son rôle (initiation à la recherche pour la construction du mémoire, formation de formateurs, analyse de pratiques)
– quels moyens de remplacement pour que les collègues puissent en bénéficier ?
– investir la formation continue par la participation à des recherches collaboratives mises en place à l’université (faciliter la diffusion des projets, permettre le remplacement des collègues)
– nécessité d’un conventionnement rectorat / université pour faciliter la reprise d’études / masterisation par VAE des collègues (actuellement des frais d’inscription dissuasifs)
– possibilité pour les M2 PLC d’accéder aux formations du PAF ?

Sur la formation des stagiaires non issus de M1 MEEF (« parcours adaptés »)
– nécessité de mieux travailler la détermination et le contenu des parcours adaptés (commission académique), d’anticiper l’organisation de l’année pour qu’une formation soit possible (constitution des groupes, lieux de stage, éviter les chevauchement dans l’emploi du temps…) > communiquer en amont les listes et affectations, réunir la commission académique le plus tôt possible etc.

Des évolutions nécessaires au modèle actuel
– volume de stage en responsabilité totale trop important, concours au milieu du master… comment mettre en oeuvre une formation professionnelle et universitaire réellement alternante, progressive et intégrée ? au niveau national, nous continuons de demander la réduction du temps de stage… dans l’état actuel des choses en tous cas, il faut prendre au sérieux le fait que tout ne se joue pas sur les deux années de master > quid des compléments de formation en T1-T2 ? Cela se réfléchit actuellement au niveau national (dans les services du ministère, avec le comité de suivi des ESPE par exemple) et commence à se mettre en oeuvre dans plusieurs académies (Toulouse, Lyon, Lille)  > quelles propositions locales ?

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